Expression Ecrite : Mascotte le saint Bernard 7eme année

Expression Ecrite : Mascotte le saint Bernard 7 -ème année de base

Sujet 1

Après la tempête, l’un des marins sauvés par Mascotte est tellement reconnaissant qu’il veut adopter le chien. Il demande à Patrick de le lui donner.
Raconte ce qui se passe en intégrant un dialogue entre Patrick et ce marin.

Rédaction

Les héros ne sont pas toujours humains, parfois, certains animaux réalisent des actes si extraordinaires qu’ils peuvent être considérés comme tels.
C’est le cas de Mascotte, ce saint-bernard plein de courage a sauvé trois marins dans une tempête. L’un de ces marins, Bernard, est tellement reconnaissant à ce chien qu’il désire l’adopter. Il
s’adresse alors à Patrick, le maître de cet animal en lui disant :

Patrick mon ami, tu ne peux pas imaginer toute la gratitude-“
“.que j’éprouve à son égard. C’est un véritable héros, et sans lui, je serais mort aujourd’hui…
-Tu sais, Mascotte a toujours été serviable, lui répond Patrick. Il ne peut pas voir quelqu’un en danger sans courir à son aide.

-Justement, le coupe Bernard, je voulais te demander quelque chose…. Accepteras tu de me donner ce chien ?

-Comment ? te donner mon chien ? s’étonne le maître de Mascotte. Réalises tu vraiment ce que tu es en train de me demander ?

-Ne t’énerve pas s’il te plait, implore Bernard. Après tout ce qu’il a fait pour moi, je me suis attaché à lui et je voudrais bien le remercier en l’adoptant.
Comme ça, je pourrais m’occuper de lui et lui garantir une belle vie….

-Ce que tu proposes est inacceptable, proteste Patrick. Tu sais très bien que Mascotte et moi sommes inséparables et que je ne peux donc pas te le donner. Par contre, tu seras toujours le
bienvenu chez moi à chaque fois que tu voudras lui rendre visite.

-Je comprends … admet Bernard en baissant la tête. Tu as certainement raison. Je n’ai pas le droit de séparer deux amis comme vous, mais je te promets que je viendrai souvent voir mon
héros chez toi… ?
Convaincu par la position de Patrick, Bernard renonce alors à

l’idée d’adopter Mascotte, mais à chaque fois qu’il revient d’une mission en mer, il accourt chez son ami pour lui raconter ses aventures.

Sujet 2

Ton oncle a un chien. Il le maltraite. Un jour, tu décides d’intervenir pour sauver cet
animal. Raconte la scène en intégrant quelques répliques.

Rédaction

Alors que le soleil se couche doucement, je me dirige vers la maison de mon oncle, le cœur
serré parles rumeurs persistantes concernant le traitement cruel qu’il infligé à son chien
J’entends des histoires troublantes de négligence et de maltraitance, et je ne peux plus
rester les bras croisés.

d’approche de la maison et, à travers la clôture braniante, je vois le chien, un berger
allemand nommé Max, assis dans un coin de la cour. Ses yeux tristes semblent refléter la
détresse qu’il endure chaque jour. Une vague de détermination et de compassion m’envahit
alors que je me prépare à intervenir.

Le frappe à la porte d’entrée, anxieux mais déterminé. Mon oncle, un homme robuste et
autoritaire, m’ouvre la porte

“Bonjour, oncle Jean”, je commence, essayant de garder ma voix calme.
Ah, c’est toi ! Qu’est-ce que tu veux ?”, répond-i d’un ton brusque.

“J’ai remarqué que Max ne semble pas être traité correctement. Je suis venu voir comment
je peux l’aider”, dis-je, essayant de masquer mon inquiétude grandissante.

Mon oncle rt avec dédain. “C’est mon chien et je le traite comme je veux. Ça ne te concerne
pas

Mon cœur bat fort dans ma poitrine, mais je refuse de reculer. Je sais que je dois plaider
pour la vie de Max:

“Oncle Jean, les animaux méritent d’être traités avec respect et dignité. Max ne mérite pas
d’être malraité. Regarde ses yeux tristes, il souffre. Je peux l’emmener avec moi et lui offrir
une vie meilleure”, plaide-je avec conviction.

Mon oncle me regarde avec mépris, puis finalement soupir. “Fais ce que tu veux. Mais ne
pense pas que je vais regretter de me débarrasser de cette bête.

Le ressens un mélange de soulagement et de tristesse alors que je me précipite vers Max,
qui s’est levé en signe de reconnaissance. Je m’agenouille près de lui et ui murmure
doucement : *Ça va aller, Max. Je vais te sortir d’ici.”

Avec précaution, j’attache une laisse autour du cou de Max et nous quittons la cour de mon
oncle. Max marche à mes côtés, sa queue timidement remuante, comme s’il sait qu’une
nouvelle vie l’attend

Cette scène est un tournant dans ma vie, car elle me montre l’importance de protéger les
plus vulnérables et de défendre ceux qui ne peuvent pas se défendre eux-mêmes. Je
choisis de donner à Max un foyer aimant et sûr, où il sera traité avec la tendresse et le
respect qu’il mérite.